C'est effectivement après avoir visionné l'excellent film de Monique LeBlanc, inspiré du très beau recueil poétique de Louise Dupré, que j'ai commencé à comprendre le sens que prenait mon dessin, bien que celui-ci en était encore à ses balbutiements.
J'ai ressenti le besoin d'exprimer à ma façon, une sorte d'écho, de ce qui m'avait tant touché dans cet amalgame cinématographique atypique, à la sensibilité peu commune. Des images qui vous suivent longtemps, très longtemps après la fin du film...
Disons que c'est un peu ma façon d'exprimer ma gratitude et mon éblouissement face à la beauté, à la force aussi d'une telle réalisation... Rares sont les films qui nous grandissent par un si bel équilibre entre atrocités historiques et espoir en l'humanité.
La reconquête des sens, 2021, 68 x 40 po.,
graphite, fusain et craie à la cire blanche sur papier Fabriano.
Disponible à l'atelier
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